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osteopathie pediatrique

Le sommeil s’acquiert suite à un apprentissage.

Comme on apprend à marcher, l’enfant doit apprendre à dormir.

L’apprentissage dépend de chaque enfant, sa durée est donc variable et sa progression non nécessairement linéaire. Connaître les bases du sommeil c’est avoir des clés de compréhension qui permettent aux parents d’être résilients en face d’un apprentissage qui met à mal leur propre capacité à se reposer.

Dans un premier temps, parlez de vos difficultés avec votre pédiatre. C’est votre principal interlocuteur. En effet, les perturbateurs du sommeil peuvent être d’origine médicale dans 20 à 30% des cas. Il est important d’écarter ces causes possibles en premier lieu.

Puis, pour le reste des enfants qui n’ont pas de pathologies particulières, on peut déjà regarder la façon dont la journée et la nuit s’organisent afin de modifier les habitudes. Certaines modifications simples peuvent débloquer des situations difficiles.

Un bébé qui est en pleine forme lorsqu'il est éveillé est un bébé dont les besoins de sommeil sont respectés.

Réseau Morphée

Les bases du sommeil du bébé

Les cycles du sommeil du bébé se mettent en place à partir de la 28e semaine d’aménorrhée (c’est d’ailleurs le premier signe de l’activité cérébrale de votre enfant avec des phases de sommeil calme et de sommeil agité) et on note des phases d’éveil à partir de la 36e SA. Ce sont les rythmes de la femme enceinte qui influent sur ce premier rythme de l'enfant.

Ainsi, en prévention, on conseille aux femmes enceintes de soigner leur sommeil et d’éviter les excitants tels que le café ou le thé au-delà de 3 tasses par jour.

 

Dès le départ, le sommeil se compose de 2 phases :

  • Un sommeil agité, caractérisé par des mouvements oculaires, des mouvements de la bouche, des grognements, des étirements, etc… Le bébé peut même pousser de petits cris lors de ce sommeil. C’est la première phase visible au moment de l’endormissement du nouveau-né. Il alterne alors des moments d’agitation et de repos. C’est la phase de sommeil prédominante chez le nouveau-né et elle concerne entre 50 et 60% de son sommeil. Un épisode de sommeil agité dure entre 10 et 45 min. Cette phase de sommeil sert à la maturation du cerveau. C’est la phase de sommeil la plus fragile.
  • Un sommeil calme, caractérisé par une attitude tonique, repliée sur lui-même, sans mouvement avec une respiration plus ample, profonde et régulière. Il fait moins de bruit mais c’est le sommeil le moins fréquent au départ. C’est la phase de sommeil qui sert aux apprentissages. On comprend donc que ce type de sommeil vienne plus tard et augmente en proportion avec l’âge de l’enfant.

Un cycle de sommeil chez le bébé dure entre 45 et 60 min. Il est donc plus court que celui de l’adulte.

Entre chaque cycle de sommeil, il existe des micro-réveils qui ne sont pas conscients quand ils restent courts. Chez l’adulte, c’est le moment de changer de position pour éviter l’ankylose. Lors de ces micro-réveils, il se peut que votre enfant présente de petits pleurs de 30s à 1 min. Attendez avant d’intervenir et apprenez à les distinguer des pleurs d’appel ou d’alarme. Si vous intervenez lors de ces micro-réveils, vous le réveillerez pour de bon et vous l’empêcherez de partir pour un nouveau cycle de sommeil. Si cela vous démange d’intervenir ou que vous n’êtes pas sûr de l’attitude à adopter, ne le prenez pas dans vos bras de suite, posez doucement une main sur son ventre pour l’apaiser sans le réveiller.

Un enfant est capable de faire des nuits complètes à partir de 3 à 6 mois. Une nuit complète chez un bébé n'a pas la même définition que chez un adulte. S'il dort sur une tranche de 5 à 6h, c'est déjà très bien.

On conseille de lui apprendre à se rendormir seul à partir de 3-4 mois : on le couche éveillé dans son lit et seul. Cette incapacité à s’endormir seul peut devenir une des grandes causes de difficulté du sommeil de l'enfant avant 5 ans.

A partir de 6 mois, la plupart des bébés sans facteur de perturbation de l’endormissement sont capables d’enchaîner les cycles du sommeil pour faire des nuits de 5 à 6h.

Quelle est la durée de sommeil chez le nouveau- né ?

La durée progressive du sommeil de nuit est le reflet :

  • de la maturité neurologique,
  • de la qualité de l’accompagnement des parents,
  • de l’absence ou de l’apaisement d’éléments perturbateurs.

On peut constater des réveils nocturnes jusqu’après 18 mois sans que cela soit pathologique. Les états pathologiques étant des états où une dette de fatigue est visible (cernes, agitations excessives de l’enfant).

La situation va en s’améliorant mais pas de façon linéaire et il peut y avoir des phases de régression.

 

 

Pour savoir quelle est la durée de sommeil dont votre enfant à besoin quelque soit son âge, la référence c'est le réseau Morphée :

Réseau Morphée

L’endormissement, une mécanique évolutive

A la naissance, le bébé s’endort en sommeil agité. Son cerveau est alors très actif. Il s’endort donc en agitant son cerveau et cet endormissement est très rapide. Les phases d’éveil sont alors relativement courtes.

Dans cette phase, on peut l’approcher du sein pour le nourrir au besoin, notamment pour les bébés qui ont besoin de prendre du poids.

 

Au fur et à mesure de son développement, le bébé va expérimenter des phases de sommeil calme et un endormissement avec le cerveau au calme. Cela commence vers la 6e semaine de vie. C’est l’endormissement que, nous adultes, nous connaissons. Mais c’est nouveau pour votre bébé de sentir cette activité cérébrale se ralentir.

C’est vers cette 6e semaine de vie que les pleurs du soir, vers 18h, peuvent intervenir.

Il s’agit de l’expression d’une anxiété en lien avec ce nouveau type d’endormissement. En tant que gardien du sommeil, vous ne pouvez qu’accompagner votre bébé et l’aider à vivre cet endormissement de façon plus sereine.

Cet endormissement est plus lent que l’endormissement en cerveau actif. Et votre bébé peut présenter une résistance à l’endormissement et au fait de se sentir partir vers le sommeil.

Avec l’acquisition de l’endormissement en sommeil calme, les micro-réveils de la nuit donnent de moins en moins lieu à de vrais réveils. Le bébé enchaîne les cycles de sommeil avec de moins en moins d’interruption.

 

Patrick Lemoine, psychiatre spécialisé dans le sommeil, rappelle ainsi que s’endormir, c’est accepter de se séparer. On compare aussi souvent le sommeil à la « petite mort ». L’enjeu de cette phase va être de co-gérer le retour au calme avec le bébé et de le laisser s’endormir seul.

Ces nouvelles sensations peuvent être en effet déroutantes. Les contestations et résistances seront d’autant plus marquées que l’enfant est fatigué. Ainsi, vous remarquerez que cette phase d’angoisse est plus intense quand la journée a été riche de nouvelles expériences, sensations et rencontres. Ménager la journée, c’est donc préparer cette phase d’endormissement à venir.

 

Par la suite, il s’endort ainsi à d’autres moments de la journée.

L’endormissement en sommeil calme est associé à :

  • L’environnement matériel et humain,
  • Aux habitudes et rituels rassurants.

L’endormissement nécessite de se sentir en sécurité et en bien-être physique.

Le rythme jour/nuit

Dans la vie intra-utérine, le fœtus suit le rythme circadien de la maman. Ainsi, en prévention, le rythme de la femme enceinte est primordial.

Après la naissance, le bébé n’est plus biologiquement relié à sa mère et son rythme est au départ très irrégulier. On notera quand même, que le lait maternel est la prolongation de ce qui était transmis au futur bébé par le cordon ombilical. Ainsi, dans le lait maternel de fin de journée, à partir de 17h, on retrouve de la mélatonine qui est l’hormone du sommeil produite par la mère, et du tryptophane qui va permettre au bébé de fabriquer la sienne. Cette mélatonine va donc aider à l’établissement du cycle jour/nuit du bébé.

A partir de 6 semaines, le bébé commence à intégrer le cycle circadien jour/nuit par lui-même. Cela se fait si on prend de suite de bonnes habitudes en ménageant des promenades à la lumière du jour surtout le matin et qu’on l’habitue à des horaires de jour et de nuit.

Cette mise en route de l’alternance jour/nuit autonome peut entraîner également une grosse perturbation vers 18h.

 

Certains enfants sont plus résilients et peuvent dormir quelque soient les conditions. Mais la majorité sera perturbée par les évènements environnementaux sur lesquelles nous allons revenir.

Notez également que les heures de lever et de coucher sont importantes. Parfois avancer le coucher de 30min suffit à régler les problèmes d’endormissement le soir. Fiez-vous aux signes de fatigue de votre enfant pour déterminer son propre besoin : agitation, ronchonnement, se frotte les yeux, baillement...

 

En ce qui concerne les siestes, elles dépendent de l’âge de l’enfant et  de la quantité de sommeil réalisée la nuit. Idéalement et surtout tant que l’acquisition du rythme jour/nuit n’est pas terminée, dans la journée, on dort avec la lumière naturelle. Ces siestes qui sont réalisées avant 20h sont des phases de sommeil plus courtes et de moins bonne qualité.

Conseils aux parents

Maintenant qu’on a compris que la clé de la réussite pour aider votre enfant à « faire ses nuits » est de lui donner des capacités à se calmer. Voyons quelques astuces pour vous aider à trouver votre routine.

Conseils généraux :

  • Je vous rappelle que le couchage est préconisé sur le dos sans couverture et sans tour de lit.
  • Ensuite, lors de problématiques liées au sommeil, il faut déjà que vous puissiez vous préserver, vous. N’hésitez pas à demander de l’aide à votre entourage, poser un congé pour vous ménager des temps de repos. Vous devez être en forme pour répondre aux besoins de votre enfant le temps qu’il arrive à maturité au niveau du sommeil.
  • Donnez au bébé des marqueurs de temps clairs et réguliers : lumière et air frais le jour, rythmes sociaux, rituels, habillement…
  • Soyez vigilant aux premiers signes de fatigue : frottement des yeux, bâillement, yeux dans le vide, … Il ne faut pas louper le train du sommeil et un bébé fatigué a du mal à s’endormir paradoxalement.
  • Le soir, diminuez les stimuli externes excitateurs et retrouver les stimuli de la vie intra-utéro pour l’apaiser.
  • La nuit, assurez un environnement sécurisé mais austère: lumière faible voire rouge, diminuez les interactions au strict nécessaire.

 

Le rituel du soir

Répéter quelque chose de connu est rassurant. Les rituels sont importants pour les enfants. Il est ainsi démontré que le rituel du coucher permet à votre enfant de gagner 1h de sommeil en moyenne. Dès 3 mois, on crée des interactions douces entre vous et votre enfant : chansons, histoire, massage, etc… c’est l'échange qui compte, pas le contenu ou vos talents de chanteur.

Ce rituel mis en place sera alors immuable.

Une psychologue nous rappelle les clés de réussite d’un rituel du soir :

  • Le sourire parental pour signifier que ce moment est heureux.
  • Le rituel doit durer au moins 1 min pour être intégré et moins de 15 min pour éviter de dépasser la fenêtre d'endormissement.
  • Favorisez un endormissement autonome en diminuant l’aide à partir de 4 mois de façon progressive.
  • Possible si le parent a lui-même confiance en sa capacité à être seul.
  • Doudou proposé au bout du lit et inclus dans le rituel afin de garder une carte à jouer plus tard si la séparation est difficile.
  • L’utilisation de la tétine est un grand débat. Elle permet d’assouvir les besoins oro-buccaux du bébé, d’apaiser des états de tension, de retrouver des sensations associées à la vie intra-utérine. En cas de besoin, il n’y a aucun problème à l’utiliser dans les premières années de vie. Les consultations chez un dentiste spécialisé en pédiatrie vous permettront de questionner régulièrement l’existence de ce besoin et d’évoquer d’éventuels effets secondaires de la tétine.

 

L’environnement de la vie intra-utérine

osteo bebe constipationLe bébé change drastiquement d’environnement avec l’accouchement. Le ramener à des des signaux sensoriels déjà connus dans la vie intra-utérine permet de le rassurer au début de sa vie mais pas seulement :

  • Demi-obscurité
  • Bruits blancs qui s’assimilent au bruit du fonctionnement organique de la mère enceinte (battements du cœur par exemple)
  • Balancement
  • Le fait d’être contenu aide les tout-petits. On peut emmailloter les bébés avant 3 mois et on peut border le lit chez les plus grands qui ont ce besoin.
  • La succion se faisait naturellement et en continu afin de faire circuler le liquide amniotique. Certains enfants ont un fort besoin de succion.

Quels sont les facteurs perturbateurs du sommeil ?

Quand un bébé reste accro à l’intervention parentale pour se calmer, il faut vérifier l’absence de ces facteurs perturbateurs.

  • Occasionnel : poussées dentaires, vaccin, infection, …
  • Accidentel : séquelle d’accouchement traumatique, chute, …
  • Chronique : intolérance alimentaire
  • Inconfort physique: Torticolis congénital, problèmes digestifs, frein de langue, tensions crâniennes,
  • Hyperstimulation de l’environnement (lumineuse, auditive, sociale), changements dans le cadre de vie,
  • Émotionnel : la nuit est une séparation qui peut être difficile pour les parents qui ont vécus un stress a la naissance ou une dépression,
  • Pathologique : les pathologies ORL, troubles somatiques ou alimentaires, asthme
  • Phénomènes psychiques conjoncturels : angoisse parentale, peur de se laisser aller au sommeil, encouragement inconscient des parents, transmission transgénérationnelle

C'est pour toutes ces raisons que vous devez évoquer ces troubles du sommeil avec les thérapeutes que vous rencontrez!

Sommeil et prise alimentaire

probleme allaitementUn bébé ne peut pas au départ tenir une nuit complète sans se nourrir. On essayera donc de dissocier nuit et alimentation à partir de 3-4 mois.

A partir de 6 mois, un bébé n’a plus le besoin physique d'être nourri la nuit. Si c’est le cas, on diminue progressivement la quantité des biberons et on écarte les prises alimentaires afin de sevrer en douceur l’enfant.

De plus, l’enfant peut demander à téter :

  • s’il sent l’odeur du lait (en cododo par exemple)
  • si il a des tensions intracrâniennes (qui sont soulagées par la mobilisation des mâchoires et l’effet de dépression sous le palais),
  • si il a du reflux car le passage du lait apaise la douleur,
  • ou s’il a besoin de stimuler son système nerveux lié au sommeil, le système parasympathique.

Réveils nocturnes

La nuit, les réveils nocturnes doivent être austères pour éviter de les encourager : jamais de lumière, peu d’échanges sensoriels et relationnels autres que l’assouvissement des besoins de base.

Et pour éviter les erreurs, il faut tâcher de différencier les différents types de pleurs :

Quand le bébé chouine, râle ou pleure moins de 2 min (dans les phases de sommeil agité) on ne prend pas le bébé dans les bras afin de ne pas interrompre ce qui est en fait son sommeil. Vous créeriez de mauvaises habitudes.

En revanche, devant un pleur vrai et ce jusque 10 mois au moins, on intervient pour sécuriser et apaiser l’enfant. C’est la base de sa sécurité émotionnelle.

Faire la distinction entre les 2 demande une phase d'adaptation. C'est normal. Bon courage!!

 

On ne naît pas parent, on le devient...

Les régressions dans l'apprentissage du sommeil

Comme on le soulignait, le bébé doit apprendre à s’endormir. Et cet apprentissage n’est pas linéaire.Les régressions sont différentes pour chaque enfant. Mais on repère des phases de régression plus « classiques » qui sont répertoriées par Caroline Goldman:

  • entre 8 et 10 mois : le bébé prend conscience de son individualité et de celle de ses parents. On repère cette phase de son développement psycho-moteur car il peut suivre des yeux ses parents de façon anxieuse. "Quand ils disparaissent du champ de vision c’est qu’ils n’existent plus".
  • entre 10 et 12 mois : l'enfant est en quête de limite éducative. Il faut alors que la réponse parentale soit adaptée : pendant la journée, jugulez efficacement ces quêtes de limites éducatives afin de limiter les quêtes nocturnes. Soyez ferme sur les lois qui régissent la nuit : on dort, on ne peut pas réveiller les autres la nuit sauf si on est malade ou que quelque chose ne va pas.

 

En conclusion, je tiens à souligner que l’endormissement est un phénomène autonome qui dépend de bien d’autres facteurs que celui des compétences parentales.

Certains enfants éprouvent des difficultés à se détendre et à passer en mode parasympathique. Il est important de repérer, comprendre et soulager ces difficultés.

Halte aux fausses croyances

L'alimentation et le sommeil n'ont pas de lien direct.

Comme au départ de sa vie, les périodes d’éveil sont courtes, on peut avoir l’impression que l’alimentation endort le bébé. En fait, alors qu’il est en fin de période d’éveil, l’ocytocine et les endorphines produits lors du repas vont effectivement avoir raison de lui. Mais ces hormones du bien-être peuvent être produits en berçant son bébé ou en le câlinant par exemple.

Ainsi, quand le bébé va grandir, les périodes d’éveil seront plus longues et l’endormissement ne sera plus forcément contemporain à la fin des repas. Pas de stress, tout est normal ici.

 

Les cris du soir ne sont pas la faute des parents.

Pas du tout. Ils dépendent de la capacité de l’enfant immature à se calmer. Les parents ne peuvent être que présents pour leur bébé.

La culpabilisation des parents n’aide pas et peut même créer un cercle vicieux qui entretient les difficultés à l’endormissement. « Les parents peuvent aider leur bébé à se calmer mais pas l’endormir ». C’est le bébé qui doit se laisser aller dans le sommeil calme, personne ne peut le faire pour lui.

 

Le sommeil n'est pas perturbé par l'allaitement.

Pour la mère : allaiter provoque une cascade de réactions hormonales chez la mère qui lui permet de se rendormir vite et avec un sommeil plus efficace qu’une mère non allaitante.

Pour le bébé : le lait maternel nocturne contient de la mélatonine qui va lui permettre de se rendormir.

Comment l'ostéopathie peut-elle vous aider quand votre bébé a des troubles du sommeil?

Nous venons de voir que 20 à 30 % des troubles du sommeil ont une origines pathologiques qui nécessite un suivi médical particulier. Ensuite, nous avons vu que des informations utiles et quelques adaptations du quotidien permettent de régler 75% des problèmes de sommeil d'après la docteure Marie-Josèphe CHALLAMEL. On comprend alors que l'essentiel tient dans ce que vous venez de lire.

Alors pourquoi consulter un ostéopathe spécialisé dans la périnatalité pour les troubles du sommeil?

 

L'ostéopathe va surtout rechercher les endroits d'inconfort physique qui peuvent perturber le retour au calme de votre enfant : tensions crâniennes, torticolis, reflux gastriques, troubles musculo-squelettiques, ... Bref, il va faire un bilan complet du confort physique de votre enfant et traiter les structures qui présentent des pertes de mobilité, des contraintes, ...

On consulte un ostéopathe spécialisé en périnatalité quand on remarque en plus des troubles du sommeil:syndrome de kiss

  • des difficultés pour l'allaitement ou la prise alimentaire,
  • des troubles digestifs,
  • des asymétries de mobilité de la tête, des bras ou des jambes,
  • une attitude au repos systématiquement non symétrique, ...

 

 

 

 

N'hésitez pas à en parler directement avec votre ostéopathe spécialisée en périnatalité!

Sources

osteo nourrissonLe réseau morphée est un regroupement de psychiatres spécialisés dans le sommeil. Il donne des informations de base sur le sommeil et vous permet d’avoir les bonnes informations quant au sommeil de votre enfant quelque soit son âge. Un site internet à garder sous le coude notamment pour définir les horaires de coucher avec vos plus grands 😉